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VERTE FONTAINE 

Vous connaissez ≪ Verte Fontaine ≫, l'association française, qui a déjà 50 ans et qui est à l’initiative de multiples projets culturels ayant un but principal, porté par la conviction et la nécessité de favoriser les rencontres des artistes indépendants entre eux et avec leurs publics, ouvrant des passerelles, creusant des galeries souterraines à la découverte des trésors et des talents enfouis, au cœur des inspirations, blablabla de dossier de demande sub', faire rimer culture et lien social, art et convivialité.

Outre les nombreux spectacles qu'elle a présentés, les festivals qu'elle a organisés, les événements culturels qu'elle a conçus, "VERTE FONTAINE" a créé, géré, animé, (financé, avec ses fonds propres, ses recettes, des dons et des subventions) de nombreux lieux de rencontres et de créations. ​

À Marseille : Le Clando Resto, La Rade/Verte Fontaine, Verte Fontaine-Place Thiars, Le Chocolat-Théâtre, Le (B)ompard Théâtre, L’Horodateur, Le (B)éret Volatile.

En Bretagne : Le 7Q, Les Gogo et Nono se marient.

À Paris : Le ciné -Club des Buttes, La Cave Galerie Talmart.

À Liège : Le Casse Du Siècle, Resto-Bar d'Art.

À Barjols : Verte Fontaine, R'sto Cool.

L'association crée et gère aussi les Éditions Du Frigo et, depuis 2013 (jusqu'en 2024), le Prix du Roman Gay.

Elle organise des cours et stages de chant et de cuisine ou les deux à la fois (Master diner's class).

Elle organise aussi des expositions et des performances artistiques dans différentes galeries ou lieux de convivialité.

Elle crée chaque année, depuis 2022, le FESTIVAL DE L'ABSURDE.

Elle lance ses Pop-UP R'sto Cool, résidences éphémères du restaurant dans des lieux plus ou moins insolites.​

Installée depuis juin 2018 à BARJOLS (Var - France), l’ association y a proposé des rendez-vous culturels, des interventions artistiques et conviviales, des projets originaux, côté Arts plastiques et côté Musique, adaptés à la spécificité du village et de son environnement. Un des buts principaux étant de fédérer des collaborations interdisciplinaires avec les associations locales et avec tous les artistes du cru.

Pour la dernière première fois, comme une évidence, dans un village aux 28 fontaines, situé au cœur de la Provence Verte, la route D 554 des stars (Georges Clooney à 30', Brad Pitt à 20', George Lucas à 10') y menant, quarante ans après "Verte Fontaine" de la Place Thiars à Marseille, portant le nom de la première chanson (1976) du groupe pink-jazz éponyme,                      voici qu'ont existé, à Barjols, du 1er avril 2020 à septembre 2022, un petit resto associatif (le R'STO COOL)  et une galerie, lieux de rencontres et de créations.

En mars 2024, l'association présente sa collection collective privée à la galerie "Espace Simple Vitrage" à Barjols. 

En septembre 2024, l'association organise, toujours à Barjols, le "Quatorzième Festival de l'Absurde.

En octobre 2024, son premier Pop-Up R'sto Cool s'installe en résidence éphémère à "La Bélugue", Place Capitaine Vincens - Barjols.

En novembre 2024, Verte Fontaine et les Editions du Frigo organisent à Paris le PRIX DU ROMAN GAY  2024 (douzième édition). 

Les événements récents organisés par VERTE FONTAINE sont sur ces pages : " evenements-spectacles "

et " prix-du-roman-gay "*

Verte Fontaine est le seul resto au monde qui dès 2020 donnait des notes à ses clients "TRIPETTES/ADVISOR" 

 

 

 

Toujours à la recherche de nouvelles aventures, Verte Fontaine vous informe régulièrement ici, de sa nouvelle destination, nouveaux projets, créations et réalisations. 

​                  Mars 2025, le RETOUR à MARSEILLE !

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   Adieu Barjols ! Merci Merci Merci!

CARTE D' INFIDÉLITÉ

Les bonnes adresses de bars, restos à Barjols :

"TOTO VINO"

"LA BELUGUE"

"KIM D'ASIE"

le "Melting Potes" et le Snack-Bar "Le Sporting"

et Rue de la Républiqe :

Carn'Y Pollo

Chez "Miléna" "Casa della pizza" "Bar du Réal"

et

 "La dalle en pente" : Tanneries

"Le Nikita PMU", "Le Marigny - Bar-Tabac"

et sur la grand place :

"Ben & Nat", " Le Pont d'or", "Chez mes filles", "L"Europe", "Le Cercle de l'Avenir"...

 

et Plus loin : "Chez Laurette JMP Billard""L'Oustaou"...

緑の噴水

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    Les auteur.e.s parlent du PRIX DU ROMAN GAY :

     

    "Lorsque Gabriel Attal est nommé Premier ministre en janvier 2024, un collègue me dit : Est-ce vraiment nécessaire de mettre en avant sa sexualité ? L’important est qu’il sache faire le taf. Le collègue en question s’appelle Damien. Il est blanc, hétérosexuel et ne s’est donc jamais senti obligé d’expliquer à qui que ce soit pourquoi il aimait les filles. Une nuance. Il me dit : Les personnes LGBT+, je n’ai aucun souci avec elles. Mais la presse en fait trop. Dans la même presse je lis : Le 12 juin 2024, un jeune homme marche dans la rue, il reçoit un coup de poing au visage. L’agresseur lui crie : Sale pédé, t’es un trans. Ça se passe à Paris, ça se passe en France. En septembre 2024, les autorités géorgiennes annoncent enquêter sur la mort de Kesaria Abramidzé, célèbre influenceuse transgenre, assassinée deux jours après le vote d’une loi restreignant les droits LGBT+. Ça se passe en Géorgie, ce pays qui souhaite adhérer à l’Union Européenne. Enfin, une étudiante se voit condamner à l’équivalent de 5000 € d’amende en 2024 pour avoir posté, en 2019, cinq photos représentant le drapeau arc-en-ciel ou deux jeunes filles qui s’embrassent sur un réseau social. Ça se passe à Moscou, ça se passe en Russie. Damien me dirait que le prix du Roman Gay ne devrait pas exister, comme il n’existe pas de prix du Roman Hétéro. Mais tant qu’il est encore possible, dans ce monde, d’insulter, de persécuter, d’agresser ou de tuer un être humain pour ce qu’il est, pour ce qu’il souhaite être ou pour ses préférences sexuelles, le prix du Roman Gay ne peut pas ne pas exister. Et je suis heureux de le faire vivre, cette année, à travers mon roman. C’est un honneur. Merci au jury, à l’association Verte Fontaine, aux Éditions du Frigo, à Gérard Goyet à Stéphane et à toutes celles et ceux qui sont venus au Tango ce soir. Entre nous reste l’amour — et la littérature." Sergueï Shikalov, auteur de "Espèces dangereuses" aux Editions du Seuil

     

    " Le Prélude lauréat du Prix du roman gay 2023 ! Quelle joie ! Merci ! Je suis absolument ravi de recevoir ce prix. En premier lieu parce que la liste des précédents lauréats comporte des noms que j’affectionne particulièrement. C’est donc pour moi un honneur. Ensuite parce que c’est un prix qui a pour objectif de donner une visibilité aux romans, auteurs, qui restent parfois cantonnés à un lectorat spécifique et ciblé. Enfin parce que j’ai tout de même écrit un roman gay, douloureux et noir, mais terriblement gay ! " Robin Josserand, auteur de "Prélude à son absence" aux Editions Mercure De France (Extrait de l'interview de Robin Josserand par Stéphane Maton-Vann dans "Les Cahiers du Prix du roman gay")

     

    " Waouh ! Avec une telle exaltation, je suis profondément honoré et reconnaissant de recevoir le 'Grand Prix Du Roman Gay Traduit 2023', le meilleur roman gay traduit en France. Cette reconnaissance apporte non seulement de la joie, mais aussi une couche de choc et d'incrédulité dans mon joli esprit tordu ! La signification de ce prix est une célébration de la littérature, de mon travail, et bien sûr comme un moment triomphant pour la représentation queer ! Je veux dire, le roman queer indonésien a gagné le Grand Prix de FRANCE ! ENFER OUAIS ! Écrire « Le rat d'égout » était un processus créatif organique dont je ne me souviens plus du début et de la fin. Tout ce que je sais, c'est qu'il encadre certains des sentiments les plus délicats que j'ai éprouvés." Nuril Basri, auteur de "Le rat d'égout" aux Editions Perspective cavalière

     

    " Je voudrais remercier les membres du jury pour ce prix qui m’honore, d’autant plus que je suis la première femme à l’avoir gagné apparemment donc ça fait plaisir… Je voudrais également remercier “les éditions du frigo” pour l’organisation de ce prix et leur travail de conservation…" Malek Lakhal, auteure de "Valse des silences" aux Editions Jean-Claude Lattès

     

    « "Dire" est dédié à Elsa Cayat, la psychanalyste assassinée dans l'attentat de Charlie Hebdo. Elle avait l'habitude de dire que la capacité d'aimer, c'est être à la barre de sa propre responsabilité, ne plus se cacher, ne plus avoir peur, ne plus haïr, ne plus se haïr, mais s'aimer. Je remercie le Prix du Roman Gay qui permet de faire vivre la mémoire d'Elsa. J'ajouterai surtout : Aimez-vous ! " Emmanuel Chaussade, Auteur de "Dire" aux Editions Mercure de France

     

    « À partir de mes 13 ans, j’ai commencé à aller régulièrement sur le site du Prix du roman gay. Je regardais le palmarès, je notais les livres et j’allais en librairie encore un peu englué dans la honte, dans la peur que quelqu’un me voie. J’achetais ces livres, je les lisais et je n’étais plus seul. Et je n’avais plus honte de rien. Plus jamais seul. Plus jamais honte. À mesure que je lisais, ma honte, ma peur, mon sentiment de solitude diminuaient. Un prix comme ce lui-là est important. C’est important. Nos livres sont importants. Nos histoires comptent. J’espère qu’à son tour, un.e mini-moi de 13 ans tombera sur nos livres et saura qu’il ou elle n’est pas seul.e. » Baptiste Thery-Guilbert, auteur de  "Pas dire" aux éditions Annika Parence.

     

    " Je suis vraiment fier de recevoir le Prix du Roman Gay car mon roman est un roman gay, c'est même la raison pour laquelle je l'ai écrit, et j'avais comme un besoin de revendiquer quelque chose, d'annoncer mon homosexualité mais je ne savais pas ce que je voulais revendiquer exactement. C'est en rencontrant ma communauté, en rencontrant mes lecteurs, que j'ai compris que je m'inscrivais dans quelque chose de plus grand, que pour vivre notre homosexualité, il fallait la défendre en quelque sorte. En recevant les témoignages des lecteurs qui s'étaient reconnus dans mon livre, j'ai compris que c'était vraiment pour ça que j'écrivais. S'il fallait que je n'écrive que pour eux, finalement, c'est ce que je ferais. C'est pour ça que je trouve que le Prix du Roman gay c'est magnifique parce qu'on a besoin de savoir que c'est un roman gay, on a besoin de savoir qu'on est dans un terrain sécuritaire, on a besoin de savoir comment se retrouver dans le livre parce que le plus souvent on a besoin de chercher des indices, des "traces" de l'homosexualité... donc c'est un honneur pour moi de savoir que non seulement j'ai contribué à la littérature mais aussi à la culture gay donc. C'est une culture qui a toujours besoin de nouvelles voix, qui a toujours besoin de plus d'exposition aussi, parce que les lieux et les prétextes de se rencontrer sont de plus en plus rares. Merci d'avoir compris mon roman comme un roman gay parce que c'était mon projet, c'est ce que j'ai envie de faire." Antoine Charbonneau-Demers, auteur de " Good Boy " aux Editions Arthaud

     

    " Quand on m’a dit que j’avais le prix du roman gay, vu qu’en tant qu’auteur je fais corps avec mon livre – d’autant que c’est une autobiographie -, ce que j’ai entendu c’est que j’avais été élu meilleur homosexuel de l’année. Donc, ça m’a fait plaisir. Forcément. Après, on m’a dit que je n’étais pas le « meilleur », mais le « coup de cœur ». Dans tous les cas, je suis sur le podium de l’homosexualité. Ce n’est pas rien. J’ai eu peur du côté « tampon gay sur le front ». J’en ai parlé à mes amis. Ils m’ont répondu : « Ah bon, mais ça parle de trucs gay, ton livre ? Fallait le dire, on l’aurait lu, du coup ». Preuve que ça a aussi des avantages, les tampons. On a besoin de représentation dans les romans, dans l’art, partout. Et à ceux qui disent qu’on n’en est plus là, qu’on est intégrés, il faut leur répondre, d’une part, que ce n’est pas vrai et qu’on se fait encore frapper dans le Marais et aux Buttes Chaumont. Et quand bien même. Au bout de 2 500 ans de littérature, les hétéros ne se sont pas dit que, ça y est, c’était bon, ils pouvaient s’arrêter. Non, ils continuent d’écrire des livres, des films et des chansons sur comment on tombe amoureux. Et nous aussi, on a besoin de continuer. On aura toujours besoin de continuer. On a besoin de se sentir représenter pour se sentir exister. Lire les Chroniques de San Francisco, à 18 ans, ça a changé ma vie. Littéralement. C’est grâce à Armistead Maupin que j’ai réalisé que j’avais le droit d’essayer d’être heureux. Avec ce prix, je suis content d’apporter ma petite contribution." Thomas Raphaël, auteur de "J’aime le sexe, mais je préfère la pizza"aux Editions Flammarion.

     

    "Je suis auteur ET gay... Pas un auteur gay. J'écris aussi sur les hétéros... Mon style s'est développé après mon coming-out. Car il est impossible de garder un énorme secret dans son coeur et de bien écrire. C'est très difficile. Et j'ai commencé à connaitre le succès quand je suis sorti du placard... Donc oui! Visibilité ! Merci pour ça!" Armistead Maupin, auteur des "Chroniques de San Francisco"

     

    "Ce prix est une distinction importante à mes yeux. D’abord, il redonne de la visibilité au livre, ce qui est une chance, il peut toucher encore plus de lecteurs et de lectrices et c’est formidable. Ensuite et surtout, ce prix est le signe que la communauté soutient le livre. Comment tout a commencé raconte, dans le Paris des années 1980 en pleine mutation, l’histoire d’un gamin dont l’éveil au désir coïncide avec l’arrivée du sida. Et cette histoire, c’est bien sûr la mienne, mais pas seulement. C’est aussi une partie de notre histoire commune. Et c’est pour cela que je suis fier de voir le livre recevoir aujourd’hui cette récompense." Philippe Joanny, auteur de "Comment tout a commencé" chez Grasset.

     

    "Je dédie cette distinction à tou-te-s mes lecteurs/lectrices dans notre communauté LGBTQ+ en France, au Maroc et ailleurs. J’écris pour dire les voix de ceux-celles qu’on n’entend pas. Et, jusqu’au bout, je continuerai de le faire." Abdellah Taïa, auteur de "La vie lente" au Seuil.

     

    "C’est aussi un livre d’avertissement. Mis sous les projecteurs par un Prix d'avertissement. On retrouve des temps de peste. Quand j’ai commencé à écrire le livre, je me suis rendu compte d’une chose: j’ai des origines à la fois française et arménienne mais ce n’est ni en tant que Français ni en tant qu’Arménien que j’ai reçu des insultes et été frappé mais en tant qu’homo. C’est un livre de mise en garde parce que ce qui appartient à l’histoire peut absolument recommencer. On voit ce qui se passe aujourd’hui dans le monde: Daesch qui jette des toits les homosexuels; en Russie les jeunes homos se suicident en masse; en Afrique, la répression fait rage. Rien est acquis pour les homos, ni pour les femmes d’ailleurs." Daniel Arsand, auteur de "Je suis en vie et tu ne m'entends pas" chez Actes Sud

     

    "Très heureux d'être le premier "récompensé" . Longue vie au Prix du Roman Gay ! " Sébastien Marnier, auteur de "Mimi" chez Fayard

     

    "Ce prix a changé mon parcours, oui, mais d'une manière inattendue. Avant de recevoir cet honneur, je ne savais pas à quel point cette récompense était importante pour moi. « Deux enfances » est mon sixième livre publié, mais c'est le premier dans lequel je parle de mon homosexualité de manière franche et honnête. J'ai vécu cette remise de prix comme un petit couronnement, comme une tape amicale sur l'épaule, une manière de me dire : « Stéphan, tu as été harcelé à l'école, pointé du doigt pour ta différence, et maintenant tu es célébré pour cette même différence. » Peut-être que ce Prix du Roman Gay est une revanche sur la vie..." Stéphan Sanchez, auteur de "Deux enfances" chez Favre  (Extrait de l'interview de Robin Josserand par Stéphane Maton-Vann dans "Les Cahiers du Prix du roman gay")

     

    "Bien sûr, cela nécessite une vision positive du concept communautaire, qui est combattu par de nombreuses forces politiques en faveur d'un universalisme qui a bien montré ses limites en matière de lutte contre les minorités... De fait, l'émancipation ne se fait pas sans moyens d'action: il s'agit dès lors de différencier ce qui relève de la communauté comme force de soutien, en tant que groupe de personnes rassemblées et engagées par des identités et un patrimoine communs, et ce qui relève du communautarisme, comme repli sur soi et force d'exclusion." Didier Lestrade, auteur de "Pourquoi les gays sont passés à droite" au SEUIL.

     

    "Pour une minorité, ce type d’espaces est toujours nécessaire dans la mesure où la question minoritaire est toujours ouverte, où l’histoire de la minorité n’est pas terminée." Massimo Prearo, co auteur de "La croisade "anti-genre" : Du Vatican aux manifs pour tous" chez TEXTUEL.

     

    "Ce qui risque de disparaître, c’est cette visibilité qui est importante dans la lutte contre l’homophobie. L'enjeu de ce prix c'est LA VISIBILITÉ! Et la visibilité, c’est aussi donner une représentation aux LGBT, des moyens d’identification. " Jérémy Patinier auteur de "Petit guide du féminisme pour les hommes" chez TEXTUEL.

     

    "Tous ces livres qui m’avaient fait lecteur homosexuel, dont j’avais traqué dans les textes le petit moment à adorer, la caresse et le sourire, ces livres qui m’avaient un moment embrassé en fin de page... et ce que j'entends par lecteur homosexuel, ce sont des livres dont j'espérais l'éventualité d'un sentiment amoureux, et tous j'avais le souvenir qu'ils m'avaient aimé... Je voulais à la fois admettre que j'étais devenu cet intellectuel homosexuel qui avait partagé les désirs d'autres intellectuels homosexuels, mais qu'il était temps d'en finir... " Christophe Honoré, auteur de "Ton père" au MERCVRE DE FRANCE.

     

    " Le ghetto du communautarisme n’est pas le fait des seuls gays. Les gays s’intéressent aux livres hétérosexuels, alors que les hétérosexuels qualifient un roman gay de roman homosexuel, étiquette qui leur sert de prétexte pour les rejeter. Ainsi une partie des hétéros, par leur simple refus de voir que l’amour les concerne tous, sont en grande partie responsables de classer un roman d’amour gay, non dans la catégorie des romans d’amour, mais dans celle, étroite et réductrice, des romans sur l’homosexualité. De ceux, par conséquent, dont ils peuvent se dispenser. " Dominique Fernandez de l'Académie française, auteur de "Correspondance indiscrète" avec Arthur Dreyfus chez Grasset).

     

    " Nos communautés ont régulièrement oscillé entre une philosophie de similitude - "Nous, tout comme vous, les hétérosexuels"- et la différence - "Nous ne sommes rien comme vous et sommes au contraire culturellement distincts"... Il nous faut choisir où et quand le mainstream nous intéresse, et dans quelles autres circonstances la non-mixité est nécessaire. Il faut comprendre que les deux impulsions peuvent coexister... Culture hétérosexuelle capitaliste dominante et Cultures Queer... Puisque la ville et les mœurs évoluent, et que les communautés se rassemblent pour elles aussi évoluer vers du plus inclusif, il semblerait qu’il faille donc simplement embrasser l’unité et rejeter l’effacement culturel. Les espaces-temps pour nos communautés se transforment. Soyons optimistes, les transformations ne sont pas des disparitions " Amin Ghaziani, auteur de "There goes the Gayborhood ".

     

    "L'homosexualité n'est pas une thématique en soi, mais une donnée qui concerne tout le monde, hétéros compris". Toute ma vie, j'ai fait l'effort de transposer mes personnages, il serait temps que les hétéros en fassent autant." Jean-Marie Besset, auteur de "Jean Moulin, évangile"

     

    "Que de tels prix existent me dégoûte." Xavier Dolan

     

    "Bravo pour votre entreprise et vos engagements." Gilles Leroy (Prix Goncourt), auteur de "Dormir avec ceux qu'on aime" au MERCVRE DE FRANCE

     

    "Très bonne route à ce Prix!" Olivier Delorme (Ecrivain), auteur de "Comment je n'ai pas eu le Goncourt" aux Editions H&O

     

    "Bien que je ne crois pas du tout à ce genre littéraire, quel réconfort de découvrir des personnes pour qui la littérature reste une affaire importante! Bonne chance dans ce projet." Michel Manière (Ecrivain), auteur de "L'homme qui n'y croyait pas" aux Editions du SEUIL

     

    "Plus que jamais, la littérature gaie a besoin de références. Elle a besoin d’être pensée et structurée. Illustrée. Défendue... elle participe utilement, sans se soumettre à l'esprit de ghetto, à l'ouverture d'un espace d'amitié. Elle donne des compagnons, même fictifs, aux jeunes homosexuels en quête d'une indispensable reconnaissance. Elle jette des ponts.  Ele participe à rendre habitable notre monde."  Pierre Salducci (Ecrivain), auteur de "Ecrire Gai" aux Editions Alain Stanké

     

    "T’étais pas contre les étiquettes à la base ?...  Les étiquettes sont censées nous être utiles, et ne sont pas là pour nous enfermer mais pour nous offrir plus de liberté. Ce sont des outils descripteurs et linguistiques."     " La vie en queer "

     

    "Les conservateurs n’ont jamais été aussi bruyants. Ni aussi structurés, c’est ça qui fait peur. Amis progressistes, remobilisons-nous et si le simple bandeau du "PRIX DU ROMAN GAY" apposé sur un livre le permet, alors c’est une manière de le faire. Soyons fiers d’être libres, fiers d’être gays, fiers d’être ce que nous sommes tout simplement. » Cyrille Prestianni, président du jury, de Arc-en-Ciel Wallonie et de la Belgian Pride.

     

    "Une fois, j'ai voulu écrire un roman hétérosexuel" Eduardo Mendicutti (Ecrivain), auteur de "L'Ange négligé" aux Editions Luce Wilquin

     

    "...être gay n'accorde aucun talent, être hétéro... je t'en parle pas!" Antoine Gouguel (Ecrivain), auteur de "Chifoumi!" aux Editions du Frigo

     

    "Un roman gay est un roman qui couche avec un roman du même sexe que lui.", Tartar(e) (Ecrivain), auteur de "Grand fictionnaire du théâtre de la rue et des boniments contemporains" aux Editions Entretemps

     

     

    12 ans de Palmarès

     

    Sébastien Marnier pour Mimi aux Éditions Fayard[6],[7] et Poussière d'homme de David Lelait-Helo aux Éditions Anne Carrière (Mention spéciale du jury), Jaabouq de Hicham Tahir[8],[9] aux Éditions Casa Express, ex æquo avec Le roi du lard de Didier Malhaire[10] aux Éditions Les Tas de Mots (Coups de cœur), Twilight de Lily S. Mist (Prix de la romance gay), Comme un chien de Ji Ro aux Éditions Crach (Prix du roman court).

    PRIX DU ROMAN GAY 2013 - LE PALMARÈS 

     

    Olivier Charneux pour Tant que je serai en vie aux Éditions Grasset[11] et De profond l'amour de Bowen Moon aux Éditions Textes gais (Mention spéciale du jury), Les saisons de l'après de Guy Torrens aux Éditions Publibook (Coup de cœur).

    PRIX DU ROMAN GAY 2014 - LE PALMARÈS

     

    Ayerdhal pour Rainbow Warriors aux Éditions Au Diable Vauvert[12] et Les ruelles des pieds nus de Hicham Tahir aux Éditions Casa Express (Mention spéciale du jury), Une vie à séduire de Bernard Hennebert aux Éditions Aden, ex æquo avec Garde ton derrière fermé de Jaffar (Coups de cœur), Sébastien Monod (Prix d'honneur pour l'ensemble de son œuvre).

    PRIX DU ROMAN GAY 2015 - LE PALMARÈS

     

    Daniel Arsand pour Je suis en vie et tu ne m'entends pas aux Éditions Actes Sud[13],[14],[15]et Un ange pour l'été[16] de Michel Bellin (Mention spéciale du jury), Tombe, Victor! de Louis Arjaillès (Coup de cœur), Désordres de Jonathan Gillot[17] aux Éditions Ex Æquo (Prix Découverte), Crime au Kitsch de Hervé Latapie aux Éditions Le Gueuloir[18] (Prix du roman policier gay), HigorJika aka Loïc Le Doeuff (Prix d'honneur pour l'ensemble de son œuvre).

    PRIX DU ROMAN GAY 2016 - LE PALMARÈS

     

    Didier Malhaire pour Vingt trois zéro cinq aux Éditions Du Chameau[19] et Les vestiges d'Alice de Marc Kiska aux Éditions Tabou[20] (Mention spéciale du jury), La bataille des mouches à feu de Michel Lecorre aux Éditions Unicité (Coup de cœur), Le nouveau messie de François Harray aux Éditions Traverse[21] (Prix Découverte), Liberté... Liberté chérie de Marcel Lourel[22] aux Éditions Ex Æquo (Prix du roman court), Denis-Martin Chabot (Prix d'honneur pour l'ensemble de son œuvre)[23].

    PRIX DU ROMAN GAY 2017 - LE PALMARÈS

     

    Arthur Cahn pour Les vacances du petit Renard aux Éditions Du Seuil[24] et L'île du Lundi de Philippe Collas et Eric villedary aux Éditions French Pulp[25] (Mention spéciale du jury), Mon père, ma mère et Sheila de Eric Romand aux Éditions Stock (Coup de cœur), Loin de Douala de Max Lobe aux Éditions Zoé (Coup de cœur), Nos années Parallèles de Sébastien Corbin (Prix Découverte), Journal d'une robe noire de H.V. Gavriel aux éditions Milady et Cœur de cible de Thomas Andrew (Prix de la romance gay 2018). Prix du roman court gay : Un tour du monde pour le Refuge de Sébastien Monod, Jeff Keller, Nathaniel Vigouroux, Maxime Meyer, Enzo Daumier, S.M. Gerhard, Jeanne Malysa, Denis-Martin Chabot, Aurore Kopec, Sébastien Avril, Mélanie Tellier, Vincent Koch, Ludovic Zadania, Michel Evanno et Luc Frey aux éditions Textes Gais et NM MASS (Prix d'honneur pour l'ensemble de son œuvre.

    PRIX DU ROMAN GAY 2018 - LE PALMARÈS

     

    Philippe Joanny pour Comment tout a commencé aux Éditions Grasset (Prix du roman gay)[26] [27]Abdellah Taïa pour La vie lente aux Éditions du Seuil (Mention spéciale du jury), Thomas Raphaël pour J'aime le sexe mais je préfère les pizzas aux Éditions Flammarion (Coup de cœur) et Le Héros et les autres de Antonin Crenn aux Éditions Lunatique, Planètes de Mario Cyr aux Éditions Annika Parance. Le Prix Découverte est attribué à : Le ventre de mes yeux de Anthony McFly, Sobek, confession d’un meurtrier de Michto Rex chez Altramenta, Le salon marocain de Djalil Djezzar aux Éditions Textes gais. Le syndrome de Mendelssohn de Pascal Estève, Retrouver Gabrielle de Jean-Benoît Dumonteix aux Éditions Fauves, La Vénus d’albâtre de Pierre Forni aux Éditions Tautem, Confidences d’un H. de Bakry Diarra aux Éditions Ozecla, Les cendres muettes de Guy Torrens aux Éditions Edilivre, D’autres horizons de Tan Hagmann et Angie Le Gac, En aller simple de Cédric Hermann aux Éditions Cœur de lune, Le cercueil farci de Dieter Moitzi aux Éditions CIPP, Les invertis de Annabel aux Éditions Ex Æquo, Chaud devant de Tom Blade aux Éditions H&O, Entre hommes de Frank du Japon aux Éditions Veuve du poignet, Montgomery Clift, L’enfer du décor de Sébastien Monod aux Éditions Lettmotif, ZAM de Martino Ebale aux Éditions M.E.O., Délices et Infamie de Michel Bellin, Les dires des nuages qui pleurent ou l'histoire de Tayyib et Tahir de Nev’î-zâde Atâyî et Laurent Baudoin aux Éditions Unicité, Sangs-mêlés de Jean-Philippe Fresnoy aux Éditions Publibook, Prix d'honneur pour l'ensemble de son œuvre à Jean-Paul Tapie aux Éditions H&O et aux Éditions Textes Gais, Prix de la Maison d’Édition aux Éditions Gay Kitsch Camp, Prix du Prix littéraire au Prix Goncourt 1919.

    PRIX DU ROMAN GAY 2019 - LE PALMARÈS 

     

    Antoine Charbonneau-Demers pour Good Boy aux Éditions Arthaud (PRIX DU ROMAN GAY 2020)[28] - COUP DE COEUR du prix du roman gay 2020 pour Romance de Arnaud Cathrine (Robert Laffont) - MENTION SPECIALE DU JURY pour Cordons de Gabriel Kevlec (Editions Ex Aequo) - PRIX DU PREMIER ROMAN (ex aequo): Carpe Noctem de Claudius Pan (Le Sélénite) et Ce qu'il aurait fallu dire d'Alexis Anne-Braun (Fayard) - PRIX DÉCOUVERTE (ex aequo): Mes amours souterraines d'Olivier Sourisse (Orizons) et Contre toute attente de Michaël Brice (Edilivre) - PRIX D'HONNEUR POUR L'ENSEMBLE DE SON ŒUVRE : Michel Bellin - PRIX DU DICO : Une bibliothèque gay idéale de Thierry Goguel D'Allondans et Michaël Choffat (L'Harmattan)- PRIX DU ROMAN ÉROTIQUE : Les amants de Lucien Burckel de Tell (Editions Cœur de Lune)- PRIX DU LIVRE NUMÉRIQUE : Piège de Christa (Edition Textes Gais) - PRIX DU ROMAN COURT : Le blockhaus de Stéphane Couppez (Le buisson noir)- PRIX DU RECUEIL DE NOUVELLES : Fragments d'amour de S.M. Gerhard (Homoromance)- PRIX DE LA MAISON D'ÉDITION : Le Collectif POU. [29][30][31]

    PRIX DU ROMAN GAY 2020 - LE PALMARÈS 

     

    L. Bigòrra pour 28 jours aux Éditions Terrasses (PRIX DU ROMAN GAY 2021)[32]. - PRIX DU RECUEIL COLLECTIF : Stonewall ( Préface de Leïla Slimani) aux éditions Abstractions [33]. COUP DE COEUR du prix du roman gay 2021 pour Cortisol Queen de Arnaud Arseni chez MIX EDITIONS - MENTION SPECIALE DU JURY pour La ride du souci de Grégoire Thoby ( éditions LES PRESSES LITTERAIRES) - PRIX DU PREMIER ROMAN : Tuer le bon gay de Étienne Bompais-Pham aux éditions Maïa - PRIX DÉCOUVERTE (ex aequo): Sang d’encre de Claude-Alain Planchon aux éditions Underground et Interlope de Nicolas Robiquet aux éditions Edilivre, RECIT AUTOBIOGRAPHIQUE (ex-aequo) : Adieu ma honte de Ouissem Belgacem (avec Eléonore Gurrey) aux EDITIONS FAYARD et Ma plus belle victoire de Guillaume Cizeron chez XO EDITIONS - ROMAN HISTORIQUE : L’ami indispensable de Olivier Boisset aux éditions Beauvilliers - ROMANCE : Fracture(s) de Emy Bloom chez Homoromance éditions - RECUEIL DE POESIES : Photocall, Projet d’attendrissement de Vincent Broqua aux éditions Les Petits matins -OEUVRE THEATRALE : Drôle de strip-tease de Pierre Haudebourg aux éditions du frigo - ROMAN EPISTOLAIRE : Deux enfances : Minou Drouet et moi de Stéphan Sanchez aux éditions Favre - ESSAI : Yukio Mishima et ses masques de Stéphane Giocanti chez L'harmattan - MANUSCRIT CHERCHANT MAISON D'EDITION : Le Bourdonnement de Jean-Michel Comte - PRIX D'HONNEUR POUR L'ENSEMBLE DE SON ŒUVRE : Guy Torrens - PRIX DU DICO : Cent chefs d’œuvre de la littérature gay de Jeff Keller aux éditions Textes Gais - PRIX DU ROMAN ÉROTIQUE (ex aequo) : Le mâle est fait de Allan Pedraccos et Nouvelles gaillardes de Hugo Qaherabear chez The Bookeditions - PRIX DU LIVRE NUMÉRIQUE : Les pliures du temps de Jean-Jacques Renou (Edition Textes Gais) - PRIX DU ROMAN COURT (ex aequo) : Pas dire de Baptiste Thery-Guilbert chez Annika Parance éditeur et Falciato de Stéphane Maton-Vann aux éditions Lamiroy - PRIX DU PRIX LITTERAIRE : Prix Goncourt 2021 (Mohamed Mbougar Sarr en tant qu'auteur, entre autres, du roman De purs hommes (P. Rey), traitant de l'homosexualité et de l'homophobie au Sénégal)[34]. PRIX DE LA MAISON D'ÉDITION : EDITIONS CŒUR DE LUNE.[35] [36].

    PRIX DU ROMAN GAY 2021 - LE PALMARÈS

     

    Le PRIX DU ROMAN GAY 2022 est attribué à Valse des silences de Malek Lakhal aux éditions Jean-Claude Lattès ; COUP DE CŒUR ex aequo, Là où les trottoirs s’arrêtent de Baptiste Thery-Guilbert aux Éditions Blast et L’homme empêché de Samuel Loutaty aux Éditions Philippe Rey ; MENTION SPÉCIALE DU JURY Dire de Emmanuel Chaussade aux Éditions Mercure de France ; PREMIER ROMAN ex aequo : Les Morts insignifiants de Gaëtan Ballester chez BOD et Une nuit sans aube de Benoit d’Halluin chez XO Editions ; DÉCOUVERTE ex aequo Le garçon from L.A. de Tadzio Alicante aux Editions Ex Aequo, Seth et le Garçon-Sirène de Yves Rozier aux Editions Ex Aequo [37] et Close de Philippe Amen aux chez l’Harmattan ; MAISON D’ÉDITION : les éditions “Perspective Cavalière” et les éditions de la Trémie ; ROMAN TRADUIT ex aequo : Le troisième Bouddha de Jameson Currier, traduit par Etienne Gomez chez “Perspective Cavalière” et Deuil et célébration de K. David Brody, traduit par Denis-Martin Chabot aux Éditions Crescendo ; CONTE PHILOSOPHIQUE : Entre estuaire et marnière de Patrick Vincelet aux Éditions Zinédi ; ROMAN POÉTIQUE : Un cœur indestructible de Jean-Christophe Galiègue, chez 5 sens éditions ; RECUEIL DE POÉSIES : Parades de Julien Burri chez Paulette éditrice dans la collection Grattaculs ; LIVRE DE PLAGE : Rock Trip de Stanowicz chez Hello éditions ; PLUS BELLE JAQUETTE : Le Mâle aimé de Allan Pedraccos, illustré par Frenchy Ejoe ; RECUEIL COLLECTIF DE NOUVELLES : Liens de Famille et Liens de Cœur aux Éditions PMM ; SAGA HISTORIQUE : La chambre du Lord - Le Ruban Noir de Dominique Sensacq-Noyer aux Editions Gaelis ; ROMAN POLICIER ex aequo : Turpitudes bocagères de Gilles Belin aux Éditions Ateliers d’écriture [38] et “Puits d’ombre” de Isabelle Pons aux éditions Ex Aequo ; ROMANCE ex aequo : Le Diva de Kenny Manta et Frédéric, Instants de grâce de Dominique Faure aux Éditions ExAequo [39] ; ROMAN ÉROTIQUE : Le requiem du danseur de Alex N. chez Echo éditions ; ROMAN GAY-FRIENDLY : Coïncidence de François Calvia aux Éditions Spinelle [40] ; ROMAN BIOGRAPHIQUE : L’Article - Les ombres blanches de l’ange - Hervé Guibert de Stéphane Maton-Vann aux Editions Lamiroy [41]; RÉCIT AUTOBIOGRAPHIQUE : Au fait il faut que je vous dise de Chantal Cadoret chez BOD ; ROMAN HUMORISTIQUE : Les hommes d’à côté de Neil Gallen ROMAN D'ESPIONNAGE : Le projet DX de Jean-Philippe Serpi aux Éditions Sydney Laurent ; RÉCIT : Les anges des Lombards de François Gilloire aux Éditions Librinova [42]. ; CONVERSATION : Conversation familière de Florent Schwartz aux Editions du Soudain.

    PRIX DU ROMAN GAY 2022 - LE PALMARÈS 

     

    Le PRIX DU ROMAN GAY 2023 est attribué à Prélude à son absence de Robin Josserand aux ÉDITIONS MERCURE DE FRANCE [45] et le Prix du Roman Gay 2023 (Roman étranger) à Le rat d’égout de Nuril Basri aux ÉDITIONS PERSPECTIVE CAVALIÈRE [46] ; Mention Spéciale du Jury : Monument Valley de Pascal Chapus aux ÉDITIONS ARLÉA ; Mention Spéciale du Jury (Roman étranger) : Au bord de Angelo Tijssens aux ÉDITIONS JULLIARD [47] ; Coup de Cœur : L’Agapanthe de Raphaël Watbled aux ÉDITIONS LE POISSON VOLANT ; PRIX D’HONNEUR POUR L’ENSEMBLE DE SON OEUVRE : Olivier Charneux ; PREMIER ROMAN : Un été à M. de Robin Corminboeuf chez PAULETTE ÉDITRICE [48] ; PREMIER ROMAN ex æquo Cette histoire finit mal de Ethan Sévenin aux ÉDITIONS L’AMOUR DES MAUX ; DÉCOUVERTE : Un après-midi sous la neige de Samer Nouh chez TROPISMES ÉDITIONS ; DÉCOUVERTE ex æquo Les carnets de l’Underground de Gabriel Cholette aux ÉDITIONS LE GOSPEL ; Dans la catégorie RÉCIT : Change rien de Erwan Ripoll et Comme il faut de Benjamin Audoye ; Dans la catégorie RÉCIT AUTOBIOGRAPHIQUE : Confessions païennes de Claude Loir aux ÉDITIONS HORS CHAMP ; Dans la catégorie ROMAN POLICIER : L’affaire du cadavre sans cœur de Geoffrey Vibrac aux ÉDITIONS GÉRARD LOUIS [49] et L’homme de Tanger de Gilles Gauthier aux ÉDITIONS RIVENEUVE ; Dans la catégorie ROMAN NOIR : Muscle Roi de Hétonque chez YBY ÉDITIONS ; Dans la catégorie ROMAN COURT : Le drap d’Eastman de Julien Landel aux ÉDITIONS LAMIROY ; Dans la catégorie RECUEIL DE POÉSIES : Les garçons, la nuit, s’envolent de Florian Bardou aux ÉDITIONS LUNATIQUE ; Dans la catégorie RECUEIL DE NOUVELLES :Printemps de Caleb Caulfield, Eve Terrellon, Seana Landchild, Charly Reinhardt, Barjy L. et Alessia Dan aux ÉDITIONS HARO ; Dans la catégorie BANDE DESSINÉE : Les péripéties homologuées de Paul & Tom de Jacq aux ÉDITIONS LA BOÎTE À BULLES ; Dans la catégorie OEUVRE THÉÂTRALE : Le jour du silence de Christophe Pellet aux ÉDITIONS L’ONDE THÉÂTRALE ; Dans la catégorie ROMAN POÉTIQUE : À ce soir de J. Verney aux ÉDITIONS LA GRANGE BATELIÈRE ; Dans la catégorie TÉMOIGNAGE : Vieillir comme je suis de Francis Carrier aux ÉDITIONS RUE DE SEINE ; Journal positif de Rémi Rodriguez, illustré par Medhi Reynard aux ÉDITIONS HARO ; Dans la catégorie ROMAN ETHNOLOGIQUE : Vers le monde bleu de Guy Bordin aux EDITIONS DE LA TRÉMIE ; Dans la catégorie ROMANCE GAY : I want to know What love is de Lisa NK chez ERATO EDITIONS ; Dans la catégorie ROMAN ÉROTIQUE : L’essai de Valéry K. Baran, illustré par Gustave Auguste chez YBY ÉDITIONS ; Dans la catégorie SAGA HISTORIQUE : Le château des aigles de Bruno Rébufie chez CITY EDITIONS ; Dans la catégorie BLUETTE HUMORISTIQUE : Le pote de sexe de Monsieur est avancé de Jacques Fortin aux ÉDITIONS JUNO PUBLISHING ; Dans la catégorie PLUS BELLE JAQUETTE : Christophe Merlin pour les ÉDITIONS PERSPECTIVE CAVALIÈRE ; Le Prix du PRIX LITTÉRAIRE est attribué ex æquo au Prix RENAUDOT et au Prix FEMINA pour avoir nominé Ce que je sais de toi d' Éric Chacour aux ÉDITIONS PHILIPPE REY ; Le Prix de la MAISON D'ÉDITION : YBY ÉDITIONS, ÉDITIONS HARO et ÉDITIONS HORS CHAMP

    PRIX DU ROMAN GAY 2023 - LE PALMARÈS

      . 2024 :

    Le PRIX DU ROMAN GAY 2024 est attribué à Espèces dangereuses de Sergueï Shikalov aux EDITIONS DU SEUIL [50]; COUP DE CŒUR Cousu pour toi de Mathias Howald aux EDITIONS GALLIMARD (COLLECTION SCRIBES) ; MENTION SPÉCIALE DU JURY Américan boys de Khashayar J. Khabushani (Traduit par Charles Bonnot) aux EDITIONS DENOËL ; PREMIER ROMAN Derrière les fenêtres de Bridgeport Inn de Tim Stevens aux ÉDITIONS LIBRINOVA ; DÉCOUVERTE ex aequo, Gay Bar de Jerémy Atherton Lin (traduit par Michael Belano) aux EDITIONS TUSITALA et Quatuor de Silvin Lupati aux Éditions OLNI ; dans la catégorie "Roman réédité" : “La vie rêvée de sainte Tapiole” de Hervé Brizon chez Terrasses Editions ; dans la catégorie "Récit autobiographique" :  “Rose2rage” de Théophylle Dcx aux Editions Burn-Août, ex æquo :  “L’Armo- Ricain” de Tangi Colombel https://oceane.ouest-france.fr/le-breton-tangi-colombel-remporte-le-prix-du-roman-gay; dans la catégorie "Autofiction" :  “Johnny, est-ce que tu m’aimerais si j’avais une plus grosse bite?” de Brontez Purnell (traduit par Alexandre Gaulmin) aux Éditions Rotolux Press ; dans la catégorie "Témoignage" : “Mon étoile et mon sang” de Fred Estaria ; dans la catégorie "Récit de vie" : "Arôme naturel" de Laurent Maero ; dans la catégorie "Carnet de bord" : “Page blanche - Polaroïd sentimental” de David Sauvage aux Editions Le Lys Bleu https://oceane.ouest-france.fr/le-breton-tangi-colombel-remporte-le-prix-du-roman-gay, ex æquo : “Victoire” de David Rivas aux Éditions Bookelis ; dans la catégorie "Chronique" : "Midi-Minuit Sauna" de Lucien Fradin aux Editions La Musardine dans la collection Prismes ; dans la catégorie "Journal" : "Car le feu qui me brûle est celui qui m'éclaire" de Brigitte Brami aux Editions Unicité ; dans la catégorie "Roman paranormal" : “Ma vie fantôme” de Franzo Pizzaro aux Editions Le Héron D’Argent ; dans la catégorie "Récit" : “Qu’est-ce qu’on va faire de toi? de Paul Varjak aux Editions Edilivre ; dans la catégorie" Roman intellectuellement pervers : "Sous la dictée" de Liliane Guisset aux Editions l'Harmattan ; dans la catégorie "Roman historique" :  “Les espérances inachevées - Tome II - L’exhumé” de Christian Beaudry aux Éditions du Tullinois ; dans la catégorie "Roman épistolaire" :  “Le cœur immobile” de Stéphan Sanchez aux Éditions Le Poisson Volant ; dans la catégorie "Essai" : “Tadzio - Mourir à venise” de Jeremy Niels Circus aux Editions l’Harmattan ; dans la catégorie "Guide" : “Le petit guide du coming-out” de Xavier Héraud aux Éditions Pride First ; dans la catégorie "Recueil poétique" : “Liquidation totale” de David Pons aux Éditions Tendres, ex æquo : “La nuit défaite” de Tadzio Alicante aux Editions Paulette Éditrice, ex æquo : “Berlin.” de Christophe Mettral aux Editions des Fleurs ; dans la catégorie "Conte policier" : “Le garçon sous un arbre“ de M.C. Combes aux Editions Astralabe ; dans la catégorie "Oeuvre théâtrale" : "Caspar-199-19-13" de Claude-Alain Planchon aux Editions Jacques Flament ; dans la catégorie "Recueil de Textes" : “MMMXEST, with love” de Didier Seynave aux éditions Baudelaire ; dans la catégorie "Romance" : “À ceux que nous étions” de Florian Parent, ex æquo : “Les constellations de mon cœur” de Antoine Ligonnet ; dans la catégorie "Roman d’amour" : “Les hors races - Tome I - L’escalade des feux croisés” de Pierre Deroissy aux Éditions le Lys Bleu, ex æquo : “Au contraire” de François Mallet chez Grrr…art Editions ; dans la catégorie "Roman Érotique" : “Hommes à nu” de Loris Claäm aux Editions 2LM Editions ; Prix du manuscrit cherchant  Maison d'Édition : “Le secret” de Romain le Gloahec, ex æquo : “Sodome chassé du paradis" de Olivier Rochefort ; Le Prix du Prix littéraire est attribué au Prix Décembre https://www.france24.com/fr/culture/20241030-litt%C3%A9rature-le-prix-d%C3%A9cembre-remis-au-marocain-abdellah-ta%C3%AFa-pour-le-bastion-des-larmes pour avoir récompensé “Le bastion des larmes” de Abdellah Taïa chez Julliard, ex æquo avec le Prix de la Langue Française 2024 récompensant Abdellah Taïa pour l'ensemble de son oeuvre ; Prix d’honneur pour l’ensemble de son oeuvre à Didier Roth-Bettoni.

    PRIX DU ROMAN GAY 2024 - LE PALMARÈS

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